En mai 2020, au cœur du premier confinement, j’ai pris une décision qui a profondément changé ma manière d’utiliser le numérique : commencer à sortir des GAFAM, et plus particulièrement de Google. Cette démarche de “dégooglisation”, amorcée il y a maintenant quatre ans, a été motivée par un double déclic : un ras-le-bol grandissant face à la surveillance généralisée, et une envie de reprendre le contrôle sur mes données personnelles.